Alors que l’Envoyé personnel du secrétaire général de l’ONU pour le Sahara, Christopher Ross s’apprête à reprendre sa tournée dans la région, le chef des séparatistes du Polisario, « président » de la pseudo « RASD », Brahim Ghali a, encore une fois, brandi la menace de la reprise de la guerre avec le Maroc.
Il a profité d’un entretien accordé lundi au journal italien La Stampa pour bomber le torse en soulignant que « la lutte armée n’est pas une menace ou un moyen de pression politique, mais un devoir national pour tous les Sahraouis ». Un devoir qui, selon lui, est un »droit reconnu par l’ONU aux peuples et pays colonisés ».
Et Brahim Ghali qui a succédé à Mohamed Abdelaziz décédé en mars dernier à la suite d’une longue maladie, de souligner que son mouvement est prêt à aller aux négociations avec le Maroc sous les auspices de la communauté internationale. Cependant, a-t-il ajouté, cela » ne signifie pas l’écart de la lutte armée ».
 
 
 






 
									 
					
