Trois des quatre jihadistes marocains présumés arrêtés, mercredi dernier à Sebta, ont été placé en détention alors qu’un quatrième, Fouad M. a été laissé en liberté provisoire par le juge d’instruction vendredi dans le préside occupé.
Parmi les trois mis en cause incarcérés figure une femme, Rhama B.A. Cette dernière, contrairement aux autres, est la seule à se voir inculper d’appartenance à une organisation terroriste en plus des accusations d’endoctrinement de mineurs, de prosélytisme et d’apologie de Daech. Il s’agit de la même jeune femme qui avait été dénoncée auprès de la Garde civile par sa famille en janvier 2015, pour s’être rendue en Syrie où l’un de ses cousins, qui faisait partie du premier groupe de résidents de Sebta à combattre en Syrie, avait trouvé la mort, précise-t-on de source médiatique.






