L’Agence nationale pour le développement de l’aquaculture est sur l’un des projet phare d’exploration des sites opportun à l’exercice de l’activité aquacole à terre dans la bande littorale entre Sidi Ifni et Aïn Baida. Cette étude est axée également sur la structuration stratégique de plan d’aménagement pour la zone Boutalha dans la région de Dakhla-Oued Eddahab. Les deux chantiers se focalise précisément sur le développement de projets aquacole sur espace terrestre.
L’Agence nationale pour le développement de l’aquaculture (ANDA) s’est lancée dans le développement de l’aquaculture sur le littoral atlantique du pays. pour une réalisation effective (ANDA) a chargé un cabinet Navcities afin de promouvoir l’étude de prospection des sites favorables à l’exercice de l’activité aquacole à terre au niveau de la région Sidi Ifni et Aïn Baida.
Par ailleurs, les premiers résultats des 3 plans d’aménagement développés ont une capacité de production de 380.000 tonnes (t). La pisciculture arrive en tête avec 245.000 t, suivie de la conchyliculture (110.000 t) et en fin de l’agro culture (24.000 t) .
il est a noter que cette filière nécessite donc un soutien particulier en termes de couverture contre tous risques, sachant que l’assurance au Maroc 30% plus cher qu’a l’étranger.
Il convient de savoir que la concurrence des produits étranger pèse lourd sur le développement de la filière puisque les espèces identifiées pour l’activité aquacole marocaine sont produites à des prix très compétitifs sur le marché méditerranéen. Leur importation sur le marché national pourrait lourdement concurrencer les produits locaux.






