Les frasques d’une infirmière-stagiaire dans un établissement de santé, et qui ont fait le tour des media ont connu une fin aujourd’hui : un mois de prison ferme pour l’accusée principale, et entre 1 à 8 mois pour les autres impliqués, selon le jugement rendu par le tribunal de première instance de Khouribga.
Rappelons les faits. En août, une stagiaire en soins infirmiers a été arrêtée à l’hôpital provincial de Khouribga, accusée de participer à une soirée fleurie dans les pieces de l’hopital avec trois autres personnes, où narguilé et séduction fusaient. Un agent privé qui veille sur la sécurité des lieux s’est rendu compte de quelques mouvements suspêcts une unité s’est donc déplacée sur place et a procédé à l’arrestation d’une amie de l’infirmière-stagiaire ainsi que des deux persinnes qui étaient en sa compagnie.
Le procès a condamné l’accusée à une peine d’un mois d’emprisonnement sans sursis pour usurpation d’identité, pratique d’une profession sans l’autorisation d’exercice, atteinte aux bonnes mœurs et à des peines allant de 1 à huit pour ses complices.