Un «proche de la présidence française», Stéphane Séjourné, chef du groupe centriste Renaissance (Renew) à Bruxelles, orchestre encore des manœuvres condamnables contre le Maroc. Cette fois, il a invité deux antisémites notoires, Dounia et Adnane Filali, résidant actuellement en France, au Parlement européen, un dangereux précédent. Un événement qui survient au moment où le gouvernement français a annoncé fin janvier un plan de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et les discriminations liées à l’origine.
Ce plan 2023-2026 qui prévoit une série de mesures «pour ne jamais céder à la banalisation du racisme, sous toutes ses formes, et de l’antisémitisme». Rien n’explique donc ce geste obscène envers deux agitateurs connus pour leurs agissements haineux
Signe d’une fébrilité manifeste en France, le juge belge chargé du dossier de corruption présumée au Parlement européen a été contraint de se retirer provisoirement en raison d’accusations de «partialité».
Deux antisémites défendus en France par une race de libellistes sans pudeur, qui, sous des titres fastueux et des révélations convulsives, ont été présentés comme des opposants.
Il est saisissant de voir dans que des perturbateurs séditieux soient protégés et défendus par la France. Indépendamment de leurs violentes sorties contre le Maroc, de leur turbulente doctrine, il s’avère que la France encourage des menées politiques et diplomatiques contre tout ce qui ne lui plairait pas. Que Paris manipule des gens qui n’ont plus gagner de quoi vivre ; aiguillonnés par la haine et par la colère, et les transforme en des rentiers réduits à la misère, cela n’est que l’incarnation l’infâme banqueroute morale française, faite et déclarée. Sans doute, es convulsions de cette anarchie incendiaire, avant d’être mise en pièces, n’affectera que la France et son nouvel allié algérien. L’opprobre qui accompagne la mauvaise conduite et l’infidélité dans les engagements, en politique surtout, reste à jamais.