La chambre criminelle du tribunal de première instance de Tanger s’est prononcée, hier, sur l’affaire de l’infanticide qui a coûté la vie à un jeune enfant.
La mise en cause était poursuivie pour violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner tout en voulant effacer toute trace du crime. Elle avait déplacé le corps de son fils qu’elle avait enterrée dans un endroit désert.
Selon une source concordante, la cour avait pris en considération les circonstances atténuantes vu que la prévenue ne voulait pas tuer son fils par préméditation. Ce dernier jouait et refusait de sortir de la salle de bain, ce qui a provoqué la colère de la mère. En le poussant, il s’est cogné la tête contre la baignoire et est décédé sur le coup. Elle a aussi affirmé qu’elle souffrait de troubles mentaux et suivait des séances de thérapie.






