Il sillonnait les rues de Tanger avec son téléphone portable, non pas pour prendre des photos de sites touristiques et historiques, mais pour immortaliser les postérieurs des femmes choisies à sa discrétion et à leur insu.
Cet obsédé, le cas de le dire, a été interpelé, mercredi dernier à la Place 9 Avril de Tanger.
Selon la police, outre son GSM qui renfermait des photos des postérieurs, B.D. avait également sur lui une petite quantité de chira destinée à sa propre consommation.
Placé en garde à vue, le mis en cause devra, entre deux joints, user de sa mémoire pour faire défiler ces photos dans sa tète car privé de son « arme fatale ».






