La Fédération souligne avoir tenu une réunion fructueuse lundi avec le directeur général des impôts, Omar Faraj, en présence de l’association des publicitaires et du Groupement des annonceurs du Maroc
La Fédération marocaine des éditeurs de journaux (FMEJ) a indiqué que la presse électronique en général n’est pas concernée par la décision d’élargir la taxe d’écran.
Ce problème a été réglé en trouvant l’interprétation correcte de l’article 251 du Code des impôts selon laquelle la presse électronique en général n’est pas concernée par cet article qui traite de la « diffusion » de publicité sur la télévision et les autres écrans, sachant que la presse électronique ne fait pas de la diffusion sur les ondes hertziennes mais de l’édition, indique un communiqué de la FMEJ, relayé par la MAP.
Il est à noter que, cette note précise que le droit de timbre s’applique sur les revenus et factures relatives aux annonces publicitaires par diffusions télévisuelles et les diffusions internet qui utilisent les techniques modernes de télécommunications. Il s’agit du streaming et des webtélés, en plus des annonces publicitaires qui parviennent au public via les sites de diffusion vidéo comme « YouTube ».