Un président de commune de Taza a été condamné après le dévoilement de faits contestable concernant sa gestion de la commune qu’il dirige.
Trois ans de prison ont été requis devant la chambre criminelle chargée des crimes financiers près la Cour d’appel de Fès contre un président de conseil communal à Taza, jugé avec quatre autres personnes pour «détournement de deniers publics» dans le cadre de la gestion de la commune de Smaiaâ.
Cette arrestation survient après qu’un problème d’évaluation et de programmation d’un ensemble de projets ait été constaté. Selon la population locale, des investissements, financés par des fonds publics, s’apparentaient à une entreprise de détournement de fonds publics à finalités personnelles.
À une période où la responsabilité est au cœur des processus d’amélioration de la gestion publique, la transparence apparaît comme la panacée, et les poursuites contre les contrevenants se multiplient. Le responsable déchu a été révoqué de ses fonctions.






