La traite d’esclaves, abolie depuis belle lurette, a refait son apparition à Tétouan la semaine précédente quand une mère a décidé de « vendre » sa fillette de douze ans à un énergumène fortuné qui n’a pas froid aux yeux.
Croyant bien faire, il a organisé une fête grandiose pour savourer le moment et convoler en justes noces avec la petite sirène mais une association des droits des enfants avait son mot à dire.
La dite association a déposé une plainte ce qui a amené la police a faire irruption dans la salle des fêtes, sans y être invitée, et a mis fin à cette mascarade illico.