Said Zouheir et Abdelhamid Abaaoud, deux marocains qui ont, à en croire les informations véhiculées par un bon nombre de médias, de deux façons différentes été impliqués dans les attentats perpétrés le vendredi 13 novembre à Paris, et qui ont coûté la vie à au moins 129 personnes.
Le premier a sauvé la France d’un carnage spectaculaire au sein du Stade, tandis que son compatriote serait le cerveau présumé de ces attentats.
L’information relayée par le quotidien américain le Wall Street Journal, et qui a par la suite été démentie par quelques médias, affirme qu’un agent de sécurité marocain du nom de Said Zouheir a, grâce à un sixième sens avancé (parce qu’on ne peut que l’appeler ainsi), empêché l’un des kamikazes d’entrer au stade de France.
Zouhair aurait interdit l’accès au kamikaze, qui se serait présenté au stade avec un billet dûment payé, un quart d’heure après le début du match, pour découvrir par la suite que ce dernier enfilait une veste d’explosifs. « En découvrant la veste piégée, le vigile a repoussé le terroriste, qui s’est fait exploser directement après », rapporte le Wall Street.
De l’autre côté, il y a le belge Abdelhamid Abaaoud qui a été identifié, par les enquêteurs, comme le commanditaire présumé des attaques. Connu pour avoir enrôlé son frère de 13 ans dans les rangs de Daesh, Abaaoud, pourrait être un « inspirateur » des attentats commis dans la capitale française.
Son nom a déjà été cité dans plusieurs dossiers relatifs aux attentats, entre autres, dans celui d’une série d’attaques déjouées en Belgique et dans l’affaire Charlie Hebdo.