Deux logiciels malveillants de type ransomwares ont paralysées entre les 12 et 15 janvier dernier, la majorité les caméras de vidéosurveillance utilisées par la police de Washington (états-unis).
L’attaque a été détectée après que les policiers se sont aperçus que les caméras disposées sur quatre sites différents ne fonctionnaient pas. Ces derniers ont vite averti les services informatiques de la capitale américaine.
En analysant le circuit défaillant, la société en charge de la maintenance a vite remarqué la présence des deux malwares. Au bout du compte, ce sont 123 réseaux de caméras (jusqu’à quatre caméras par site) qui ont été touchés, sur les 187 que compte la ville.
À noter que l’intrusion qui s’est déroulée à une semaine de l’investiture de Donald Trump s’est limitée au système de la vidéosurveillance, en circuit fermé. Si le blocage a été accompagné d’une demande de rançon, la ville a assuré au Washington Post n’avoir rien eu à payer.
Pour se débarrasser du logiciel malveillant, les informaticiens se sont contentés de réinitialiser le réseau.