Le boxeur amateur Zakaria Moumni a, une fois de plus, fait preuve de son absurdité insensée, affirmant que les autorités marocaines lui ont imposé des agréments de transport, écrit The North Africa Post.
Selon le raisonnement insensé de Zakaria Moumni, le makhzen, qui l’enchante sans cesse, lui aurait versé de force une allocation mensuelle, sans raison apparente. Cependant, Moumni n’explique pas pourquoi il n’a jamais soulevé cette question auparavant, et n’a abordé le sujet qu’après que l’administration marocaine lui a retiré ces agréments étant donné qu’il ne réside plus au Maroc et qu’il a déclaré à une chaîne de télévision étrangère qu’il «non veut plus appartenir à ce pays », explique le média.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le raisonnement de Moumni est insensé et ridicule. Comment un État avec toutes ses institutions peut-il imposer deux autorisations de transport (NDLR : à Zakaria et à son père) à quelqu’un et «forcer» un citoyen lambda à accepter une allocation mensuelle ? A-t-il été forcé de l’accepter sous la menace d’une arme ? Y a-t-il eu des circonstances particulières derrière l’octroi de la licence de transport ? Une explication de la part de Moumni serait nécessaire, poursuit-on.
The North Africa Post relève qu’il sera plausible de supposer que Zakaria Moumni a pu obtenir son agrément après avoir été soi-disant sacré champion du monde de boxe. Mais rien ne peut expliquer pourquoi son père se verrait également octroyer une licence. Certains pourraient trouver la réponse dans le caractère et la personnalité de Zakaria, lui qui pêchait constamment la compassion et qui était accro à la mendicité des faveurs. Ses plaintes sont peut-être la raison pour laquelle les autorités ont considéré avec compassion et humanisme la précarité de son père et lui ont accordé le permis de transport.
Pourtant, il n’y a pas de réponse convaincante à cette histoire improbable car Zakaria Moumni fournit sa propre version des faits, se faisant passer pour une victime en deuil, assoiffée de compassion. Pourtant, cela peut-il cacher son absurdité insensée ? Pas si sûr !, conclut le média.