Il continue d’écumer les plateaux de télévision française pour la promotion de son livre « l’homme qui voulait parler au Roi ». Zakaria Moumni dit « Zak » a choisi, cette fois-ci, la chaîne thématique « Arte » pour distiller, encore une fois, son venin et sa haine contre son propre pays pour n’avoir pas pu obtenir les espèces sonnantes et trébuchantes qu’il exigeait de « l’homme avec lequel il voulait parler ».
Hasard ou pas ? L’ont est en droit de se poser la question de savoir pourquoi cette sortie médiatique et ce livre à peine quelques semaines de celle d’Eric Laurent et Catherine Graciet qui ont à peine eu le temps de palper l’argent de leur chantage également contre le roi Mohammed VI.
L’on se demande aussi pourquoi celui qui dit avoir fièrement défendu les couleurs de son pays au championnat du monde de kick boxing, s’en prend à ce même pays qui l’a adopté et lui a permis de pratiquer ce sport. La réponse on la trouve facilement dans ses propos qui sentent l’odeur de l’argent et qu’il fredonne dans des interviews qu’il donne, ça et là, à une certaine presse française qui lui sert de caisse de résonnance.
A la question de la journaliste qui demandait à « Zak » s’il attend un dédommagement matériel de la part des autorités marocaines, Zakaria- pour nous marocains qui ne sommes pas encore très très copains avec « Zak »- ce dernier qui se vante d’avoir été rajouté comme ami par 2000 internautes sur Facebook, a répondu par l’affirmative sans même sourciller.
Oui, a-t-il répondu, ajoutant bien évidemment, question de ne pas trop se trahir, qu’il voulait que justice soit rendue et que les « coupables » de sa « torture » soient traduits en justice. Relancé sur cette même question, il persiste et signe, en invoquant d’ailleurs une convention onusienne dans ce sens.
Bref, Zak qui était accompagné de sa douce moitié qui n’a, malheureusement pour elle et heureusement pour les contribuables marocains, rien empoché dans ce chantage à peine voilé, revient sur les péripéties de sa « rocambolesque » affaire, qui nous rappelle des polars sortis droit de Hollywood où se mêlent torture, kidnapping, menace de mort et même « découpage en morceaux de viande directement mis dans des boites de conserves », de cet ancien sportif à l’imagination un peu trop fertile.
Il faut dire que tout au long de sa brève carrière, il en reçu des coups dans la tète. Alors rien de surprenant s’il nous débite un tel scenario digne de « Zak l’éventreur du passeport marocain ».






